Ce qui ne peut plus se tient à peine. Peine à se tenir. Ici ce qui ne peut plus se tient. À peine. Ce qui dans la lumière n’est plus, l’ombre à peine se tient. À peine, l’ombre pourtant. Ce qui ne peut plus se tient à peine au coin de toutes les prostrations se tient pourtant ici. Ici à peine. Se tient à peine tant l’ombre est grande, l’ombre gagne se tient, pourtant, à peine au coin des prostrations se tient pourtant. Ce qui ne peut plus. Ce qui ne peut plus trouve où tenir c’est un corps soudain venu de l’ombre c’est un corps à peine, soudain venu de l’ombre, de ce coin des prostrations vient ici. Se tient se tient à peine l’ombre est vaste l’ombre vient l’ombre couvre et dévore. Et dévore la face et dévore le corps et dévore le sol. Se tient à peine l’ombre s’étend se tient pourtant ici enseveli. A peine. Au coin un angle cet angle ce lieu de toutes les prostrations se tient ce lieu cet angle l’endroit seul. Au coin à l’angle, ce mur le sol et le corps tenu. Encore ici. Même ici. Lieu de tous les retraits se tient pourtant se tient quand bien même presque plus, si moindre de ce qui ne peut plus. Ce qui ne peut plus trouve où tenir. Où tenir est tenir presque est tenir sans où tenir est être tenu par. Où tenir tient d’une inversion du muscle et de l’angle où l’angle reconfigure la masse de chair pour un corps corps à peine devenant presque à peine encore. C’est un corps à peine comme est tout corps fait pour toutes peines vient au coin des prostrations vient pour faire venir une voix presque. Une voix, un corps qui se tient à peine. Ne se tient plus. Trouve avec l’autre corps comment tenir à peine comment tenir pourtant. C’est un corps presque qui vient. Un corps des ombres et poussières. De ce lieu de la Ténèbre qui est autant lors du jour que lors de la nuit. Ténèbre règne ici. De ce lieu des prostrations et de ce qui ne peut plus, ce corps presque, ce visage à peine, une voix pour. Une voix pour tenir encore et faire venir la voix presque qui ne peut plus. Une voix venant de l’ombre comme venant en dernier recours. A ce qui reste ne reste plus. Falloir cependant, un corps à ce corps presque. Ne pouvant plus. Restant ici. Au coin des prostrations. La voix vient cependant. Venant comme ce qu’il faut, à peine vient-elle. Vient cependant. Ce qu’il faut, elle le fera, elle le dira. Le dire comme lèvre sait pour mettre fin. Le taire comme chute le fait. Voix à peine cependant prenant le corps presque lui donnant vit et mouvement. Presque pour un corps à peine assez cependant ce qui lui sera donné sera presque mais sera cependant. Ici, dans ce lieu d’ombre de peines et de ténèbres. Du lieu de toutes les prostrations. Maintenant là. Ce qui ne peut plus trouve un peu. Cependant cherche à maintenir à ne pas être tout à fait effondré. Seulement à peine. A peine seulement le corps à peine ne pouvant plus masse non disjointe de la Ténèbre à même l’angle figure repliée figure accroupie figure de l’informe une voix pour. Masse non disjointe de la Ténèbre s’y tient comme accouplée. Monstrueuse et muette engeance. De ce lieu de toutes les extinctions frayer ce qui à peine. Une voix à peine et un corps presque fera dire au corps ne pouvant plus. Ce qui ne peut plus comme à peine. Cependant cherche à se tenir un peu à n’être pas tout à fait. Effondré, seulement à peine. Le corps à peine ne pouvant plus tient à peine sur ses jambes. Tenir à peine sur ses jambes fait que ce corps ne trouve plus où tenir ne trouve que le coins des prostrations. De ce lieu de toutes les extinctions. Une voix à peine et un corps presque fera dire au corps ne pouvant plus. Elle le dira pour lui ne dira pas l’exact. Elle dira presque comme lèvre savait. Elle prendra image et corps des autres pour dire ce corps là ne pouvant plus ne tenant plus. Que presque. Presque à ne plus tenir ainsi il faut dire il faut faire un lieu pour ce corps presque. Presque une histoire et un visage à peine pour maintenir ce corps presque comme hors de l’eau. Ce qui atterre noie. Comme lèvres savaient. Ce corps presque ne pouvant plus est de tout les faits est de ce qui traverse vie et monde. N’est presque plus. Ce qui détruit ainsi n’est pas une chose est ce qui fait le sans-monde. Détruit le corps qui le traverse. Sans-monde. Il n’ y a pas de visage pour ce qui détruit il n’y a que ce que le monde sans le monde. Il n’y a pas de coupable visible, il n’y a que le monde qui est entré. Sans le monde. Il n’y a que le monde à pouvoir faire cela c’est pourquoi ce qui détruit n’a pas de nom est de toutes les choses. Il n’ y a rien d’autre que le monde, soudain qu’il fallait nommer. Une voix à peine venue pour ce corps presque n’en pouvant plus. Ce qui est ruine des jours et des nuits sera dit la voix venant. De ce lieu des prostrations de ce qui ne peut être dit sera dit par la voix à peine pour ce corps presque et prendra image et corps des autres pour nommer ce qui agit dans ce corps presque. Ne sera pas l’exact sera l’image mouvante suivant les images Tout-autre. Ne sera pas l’exact sera l’incertitude et le défaut. Sera ce qui malgré tout. A peine la voix, à peine le corps presque. Malgré tout. Bien que la nuit bien que le jour de ruines seulement sera malgré tout voix venant, voix à peine mais dira quand bien même. Quand bien même le visage presque. Que voici, dès lors. Quand bien même la négation faite au corps presque et à la voix venant. Quand bien même choses du monde diminuent le corps presque. Poursuit encore. Bien que la nuit, bien que le jour de ruine seulement se porter encore au monde. Quand bien même Ténèbre règne. Quand bien même d’une existence la trajectoire seulement et du feu la cendre seulement. Bien que la nuit bien que le jour désoeuvré l’un l’autre la voix venant. Malgré tout. Ce qu’il fallait de corps pour le corps à peine vient ici et le porte. Ce qu’il fallait pour que la voix vienne ce grand désastre. Ici ce qui ne se tient plus, les jambes à peine au coin des prostrations se tient par les poumons emplis d’air et maintenant souffle. Ce qui se tient à peine est tenu les poumons gonflés redressent la tête. Bien que la nuit bien que le jour à n’être que ruines se tient dans l’air dedans. La tête contre le mur au coin des prostrations remue image et corps. Bien que le corps à peine bien que le corps presque à visage venu comme à peine imaginé et venant pourtant. Un visage presque pour une voix relayant l’autre pour de nuit et de jour à tenir presque ainsi sans plus de corps ni de voix sans plus de monde à traverser. Ce qu’il fallait à ce cela. Il faut ce qu’a fait la voix venant au visage comme à peine presque venu et continu dans les poumons du corps à peine tenant redresse le buste à plein poumon le corps à peine gonflé peut maintenant faire tenir la tête contre le mur et voir du coin des prostrations l’image désolante. Ce qui porte est la voix venant faisant l’image désolante. Détachée du corps. Presque. Plus personne ici. Seule la désolante.
Quand bien même de ruines et de poussières enténébré le corps. Quand bien même le jour moins que la nuit et la nuit suffocante parcourt le corps moins que le corps. Enténébré le corps. Quand bien même Se tenant presque, gisant maintenant. Avec peine l’instant sur la fin le portant. Enténébré le corps. Quand bien même ces nuits pour toutes, les reconduire. Voix et regard poursuivent. Quand bien même le couteau dans la chair et ses mains sur la bouche, ce corps à même venant presque maintiendra. De corps et de chair pousse la Ténèbre à même la paupière. Quand bien même les mains sur la bouche et privation de souffle et de voix, ce n’est pas la première ni la dernière fois. Quand bien même le corps gisant ne tenant plus est malgré tout d’avant lui et d’après lui. Quand bien même les ténèbres le corps soufflé maintiendra la voix presque. Quand bien même la langue tranchée reste mains et poumons. Bien que le jour bien que la nuit de Ténèbre sur la langue et le souffle. Bien que vos mains sur ma bouche et votre rancune pour jour reste la nuit. Bien que les mots à poursuivent leur défaite, du moindre pour tout bruit. Bien que moindre bien que rien une ténèbre pour chair et corps. Bien que la ténèbre enveloppe la langue et la voix venant. De tout effondrement maintenir un souffle quand même presque.